Abstract
La disparition de Jean Fontaine marque sans doute la fin d’une période et nous contraint à revenir sur ces années où quelque chose comme une altéritLaé incorporée se fondait dans le paysage tunisien, y apportant sa touche singulière.
La disparition de Jean Fontaine marque sans doute la fin d’une période et nous contraint à revenir sur ces années où quelque chose comme une altéritLaé incorporée se fondait dans le paysage tunisien, y apportant sa touche singulière.