Abstract
J’ai connu Jean Fontaine en juin 1980, quelques jours après ma sortie de prison. J’étais chez des amis (qui se reconnaîtront) lorsque j’ai vu entrer un « Monsieur », à l’évidence français ou européen ! Je l’ai salué en français ; il m’a répondu en arabe avec un accent parfaitement tunisien.